Sarah, mon Torontoise de 28 de saison, lance: «Lorsqu’on an adore avoir des temoignage personnalises

Sarah, mon Torontoise de 28 de saison, lance: «Lorsqu’on an adore avoir des temoignage personnalises

Sandra Wesley, directrice ge?ne?rale de l’organisme Stella, qui vise entre autres a? ame?liorer la qualite? de existence nos actives dans phallus, conside?re qui va s’agir d’une initie pour travail en puissance, au sens tre?s large. «Les services sexuels peuvent e?tre divers, et tous les segments ne sont pas criminaliappropriese?appropries, egalement icelui nos comediennes decouvertes. Par contre, les gens organisent une meilleure impression une sugar nouveau-ne qu’il a l’egard de l’escorte, clairement, car ce terme est plus e?loigne? de l’industrie du sexe et que ce type de relation n’implique pas d’avoir de nombreux clients. Le stigma qui y est associe? est moindre, et engendre moins de conse?quences sur la vie de la femme.»

Des des sugar bebes abattis pour Seeking Arrangement que nous avons interroge?es pour cet article sont quant a? elle unanimes: elles ne se conside?rent pas comme des prostitue?es. Leurs relations sont «normales», disent-elles: elles fre?quentent un homme avec qui elles font des activite?s et ont de temps a? autre des relations sexuelles. «Les prostitue?es ont ge?ne?ralement des clients qu’elles font payer a? la rencontre. S’il est de?sire? et consensuel, c’est comme n’importe quelle autre relation», affirme Sofia, 21 de saison, de Montre?al.

Ce sont justement ses amies e?tudiantes qui ont encourage? Leah a? s’inscrire sur Seeking Arrangement

nous-memes l’a donne. Mais je ne suis pas paye?e pour c?a comme si c’e?tait un travail. Mon sugar daddy cherchait une gentille jeune femme a? ga?ter et qui passerait du temps avec lui, et c’est ce qu’il a obtenu avec moi!»

Un sugar daddy son horripilante presence ainsi a l’egard de le lieu souveraine, qui pre?fe?re garder l’anonymat, renche?rit: «Les prostitue?es vendent du sexe contre de l’argent.

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